Mieux comprendre les rejets alimentaires des jeunes enfants

Savez-vous que seulement 1 enfant sur 10 sait reconnaître une betterave ?

C’est sur le mode ludique et instructif, devant une salle captivée qu’Aprifel a tenu la session ouverte de son Assemblée Générale annuelle le 17 juin dernier. Chercheurs en sciences cognitives, universitaires se sont relayés pour expliquer les ressorts du rejet ou de l’approbation de l’enfant d’un aliment.

Les études sont sans appel : les enfants ne sont pas que des bouches à nourrir, mais aussi des cerveaux à instruire ! Pour lutter contre la néophobie (mécanisme naturel de rejet des aliments nouveaux qui pénalise particulièrement la consommation de fruits et légumes), il faut impliquer l’enfant par la connaissance de l’aliment.

Plus un enfant comprend ce qu’est l’aliment qu’on lui présente, d’où il vient, comment il pousse, comment il se consomme, plus on lui proposera régulièrement le même aliment, plus il sera prompt à accepter de le manger.

L’occasion pour Aprifel de rappeler, que l’éducation au goût, au plaisir de manger, aux bons apports nutritionnels, à faire attention à sa santé, à consommer de manière la plus durable possible sont au cœur de ses actions.

Damien FOINANT, doctorant à l’université Bourgogne Europe a réalisé une étude « Comprendre les rejets alimentaires des enfants » pour le groupe Apicil.

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